Dr Death

Nom : Karppinen
Prénom : Jukka
Surnom : Dr Death, il s’agit aussi du nom utilisé par le gouvernement lorsqu’ils font références à ce dernier. Utiliser son véritable nom finirait sans doute par entacher leur nom avec la réputation de notre si charmant docteur. Parfois simplement D.

Âge : 26 ans
Race : Humain
Clan : Le gouvernement
Rang : Thanatopracteur

Description physique : Beauté cadavérique, Dr Death possède le lugubre charme qui est à l’habitude uniquement réservé a nos très chers êtres ayant trépassés. La peau lisse et naturellement blafarde, nombreux amateur de la mort ou grand gothique tuerait littéralement afin de posséder un tel teint. Il possède un charme bien à lui bien qu’il s’agit pour certaines gens d’un personnage plutôt morbide. Il est vrai qu’il n’a pas l’air d’être du genre très en santé notre très cher docteur, enfin techniquement il n’a jamais réellement reçu le titre de docteur, mais il est considéré tout comme… de toute façon, vous allez comprendre pourquoi lorsque vous lirez plus bas quelques faits intéressants à propos de son passé. Alors, revenons-en à la description physionomique de cette carcasse ambulante qu’est notre très curieusement attrayant Dr Death. Comme mentionné plus tôt, la peau lisse et blafarde de ce dernier est tout à fait naturelle et possède une explication biologique très logique que la plupart des gens comprennent et connaissent alors n’allez pas balancer une explication irrationnelle du genre qu’il est un zombie ou un vampire bien qu’il possède un physique quasi similaire. Il s’agit tout simplement d’un très flagrant manque de mélamine et de soleil, car toute personne ayant quelques notions de biologie sait très bien que c’est la mélamine qui vous donne ce si magnifique teint sombre, enfin magnifique cela dépend des goûts. Dr Death lui eu toujours préféré avoir un teint identique à ses meilleurs amis, ses très chères dépouilles mortelles.

Que dire de cette charmante figure androgyne sur laquelle son léger sourire y est si souvent accroché. Des traits faciaux plutôt féminins et gracieux à rendre certaines personnes sceptiques sur le sexe de ce dernier. Ses prunelles bleutées d’une grande beauté, mais à la fois abominables, on ne sait jamais réellement ce qu’il souhaite exprimer par celles-ci. Elles n’affichent pas la joie, mais elle pas non plus la mélancolie ou l’agonie. Il s’agit peut-être là d’un signe physique de sa profonde folie, cette même folie qui le rend si captivant et génial. L’ensemble de son visage est un étrange masque possédant une seule et unique expression. Avec son regard semi-présent, entre le réel et le rêve, entre la vie et la mort puis son étrange petit sourire affichant un certain bonheur dont on ne peut déceler la source, Dr Death possède des traits si confus qu’il en devient autant un être fascinant qu’effrayant. Sa crinière, cette couronne dorée ornant impérieusement son visage... Toujours aussi mal coiffée, il faut dire qu’il n’est pas naturellement exactement le genre à considérer une belle chevelure comme un trait absolu de séduction. Une chevelure sans doute jugée comme étant semi-longue et plutôt simple au niveau de la coupe, rien d’excentrique, très facile d’entretien, elle ne vient point réellement lui obstruer la vue lorsqu’il pratique son hobby favori.

C’est sans doute déjà suffisant pour le visage de ce dernier, car il ne s’agit là que d’une des multiples fascinantes parties de l’anatomie humaine. Effectuons une descente au niveau de certains organes plutôt intéressants, exemple le cœur, les poumons, le foie et plusieurs autres, en d’autres mots au niveau de son torse. Ce torse possède une histoire, il est la victime, non pas victime, mais plutôt une œuvre d’art d’un genre scientifique. Les cicatrices sont telles des coups de pinceau, des traits parfaits et précis dévoilant lorsqu’ils sont ouverts les merveilles de la nature. Sa cage thoracique, facilement visible et plutôt bien détaillée pour un homme possédant encore de la chair sur celle-ci ainsi et qui plus est toujours vivant. Il démontre physiologiquement les courbes du corps masculin, le magnifique tracé de l’architecture que compose le plus commun des mortels. Ce corps fragile, si frêle, victime d’une torture volontaire... aux yeux de Dr Death, malgré le travail médical affectueux sur celui-ci, son corps est une merveille de la nature et est d’autant plus superbe qu’un corps n’ayant jamais connue la froide lame d’un scalpel si ce n’est pas plus à cause qu’il possède une si fascinante histoire.

Ses bras, l’extension vers ses mains, puis vers ses doigts. De l’ingénierie biologique, un mécanisme précis et si brillant. Un système ingénieux de nerfs, d’os, de muscles et de faisceaux sanguins. Un outil de travail si élaboré, capable de faire mille et une choses. Ses bras à lui sont frêles, à l’apparence fragile et faible, mais pourtant ce dernier peut se montrer si ferme. Il s’étonne lui-même lorsqu’il voit à quel point une si faible masse de chair peut être forte. Oh certes il ne possède nullement la fermeté et la force des hommes possédant masse musculaire nettement supérieure à la sienne, car il s’agit là d’une chose tout simplement trop évidente lorsque l’on parle du corps d’un humain. Ses mains plutôt osseuses possèdent de longs doigts fins et d’une sublime délicatesse. Ses ongles, sans doute plutôt longs comparativement aux habitudes masculines, mais rien de trop encombrant non plus.

Allez, allons toujours un peu plus bas dans l’architecture de son corps. Son basin dont les os sont plutôt visibles sous la chair lorsqu’il est mis à nu. Ses jambes, tout aussi frêles et merveilleuses que ses bras avec leur fonctionnement similaire en parties. Avec des telles jambes, qui selon lui sont tout naturellement une merveille de la nature, mais ça vous l’avez sans doute déjà deviné, il semble étrangement facile de le faire trébucher afin qu’il bascule magnifiquement afin de s’écraser de tout son long sur une surface quelconque qui arrêtera sans doute brutalement le tout. Ses pieds, ni trop longs, ni trop courts, ils sont proportionnés à sa structure afin de faire en sorte que cette carcasse bohémienne puisse y trouver un certain équilibre.

Parlons des proportions, car il s’agit là d’un point très important lorsqu’on parle de l’anatomie. Le Dr Death semble être parfois rien de plus qu’un grand cadavre toujours vivant. Du haut de ses magnifiques un mètre quatre-vingt-cinq, ce très cadavérique protagoniste à la structure plutôt frêle est très bien proportionné. Ses bras ne sont point trop grands et il ne semble pas avoir trop de jambe pour son torse. Dans l’ensemble, selon les goûts, il s’agit là d’un très bel homme. Certes il possède cet air de mort, ses énormes cernes sous ses yeux et un très évident manque de couleur au niveau de la peau, mais il reste qu’il est ni plus ni moins qu’une magnifique créature.

Bon, à présent une partie un peu plus superficielle, mais qu’il est difficile de négliger dans cette société qui ne semble pas apprécier beaucoup la physionomie que notre très étrange spécialiste des morts? Vous l’avez sans doute déjà deviné, car vous n'êtes point bête, il s’agit ici de son look vestimentaire. Comme tout bon docteur qui se respecte, Dr Death est souvent vêtu d’un magnifique saros blanc… qui éventuellement n’est plus si blanc que ça. Sous celui-ci, généralement rien du tout sauf sa peau. À ses mains, il porte généralement lorsqu’il travaille de très classiques gants en latex, sinon rien du tout. Plus bas, au niveau du bassin jusqu’aux chevilles, le pantalon en cuir semble être un classique chez lui et ça lui va très bien. Naturellement, vu sa taille il porte aussi une ceinture par crainte qu’il finisse par tomber. Sous son pantalon, aucun sous-vêtement, c’est plutôt futile selon lui. À ses pieds, d’abord des bas, car sinon ça lui donne des ampoules et rend ses bottes nettement moins confortables. Il y va avec les classiques grosses bottes qui montent jusqu’à la moitié du mollet. Le genre de bottes qui semblent être si lourdes qu’on se demande comment il peut marcher avec elles quand il possède un corps qui semble si faible.

Description caractérielle : Un jour, très loin de celui-ci, un homme sage du nom d’Aristote eut dit « Il n’y a point de génie sans un grain de folie », mais comment définir les fous et les génies? Alors qu’un sage se distingue des autres hommes, non par sa folie, mais par son génie, le fait que Dr Death est de toute évidence un être qui se distingue parmi les autres hommes fait-il de lui un esprit des plus génial ou un simple et très douteux aliéné? Et si il n’est rien de plus qu’un véritable fou, si il persiste deviendra t-il un sage? Lorsqu’il fut jugé par ses confrères, fut-il jugé justement? N’est-ce pas l’imagination qui compte et non la connaissance? Dr Death voyait le tout d’un œil différent et c’est cette différence qui a fait en sorte qu’il fut excommunié. Les sages hommes et les fous ne font qu’un aux yeux des gens préférant la tradition et une pseudo rationalité qui ne cède plus place à l’innovation ainsi qu’à l’imagination. La beauté a disparue et n’est devenue pour certaines gens qu’une simple banalité. Alors que les gens qui perçoivent cette banalité comme étant magnifique, leurs semblables les rejettes et les juges complètement bons pour l’asile. Mais où est donc la véritable justice si ce n’est celle absolue de la mort. Cette même mort qui donne le sens à l’existence en la faisant dépérir petit à petit. C’est avec une philosophie telle que que notre adorateur de crypte c’est fait juger. Cependant, il n’a point changé sa philosophie en ce qui concerne la beauté, la vie et la mort.

Cette beauté cadavérique possède une véritable passion, une fascination, voire presque un certain fanatisme en ce qui attrait à la mort. À ses yeux, il s’agit là de la dernière étape de la vie du corps, de l’enveloppe de chair que tout être en ce monde possède et dont il ne peut s’en détacher. Cette même enveloppe de chair est pour lui si magnifique, géniale et merveilleuse. Dr Death voit le corps humain comme étant parfait en tout point malgré les multiples défauts que la société semble s’amuser à lui trouver. Sans doute est-ce parce que sa vision de la beauté diverge de celle émise par le plus commun des mortels. Voyez vous comme lui la beauté chez les morts? Peut-être que pour vous il s’agit là que d’une simple enveloppe vidée de toute flamme vitale et qu’une fois qu’un être a trépassé, il perd tout son charme et sa beauté. N’êtes vous donc pas fasciné comme lui par la beauté de la nature, par son fonctionnement? Est-ce devenu si banal pour vous? Les poumons pompent l’air, l’envoient dans votre sang, et votre corps le fait circuler partout dans chaque cellule. Est-ce devenu si naturel chez vous que c’est sans valeur? Vous voulez savoir comment un être est mort, vous ne voulez que connaître des résultats, que des résultats sans connaître le comment et le pourquoi! Vous craignez tant la mort, vous avez peur de devenir vieux, souhaitez demeurer éternel et toujours aussi jeune alors que tout ce que vous craignez le plus est le sens même de votre existence.

Pourquoi craindre la mort et avoir créé tant de choses pour l’apporter encore plus rapidement en ce monde? N’aimez vous donc pas la vie? Car vous semblez prétendre y être si tendrement attaché, serait-ce parce que votre petit esprit aussi pas aussi génial que vous ne le pensiez possède la merveilleuse maladie du nombrilisme. Lorsque vous craignez qu’un de vos proches trépasse, il s’agit tout de même d’une certaine forme de nombrilisme. Dans « Je ne veux pas que tu meurs » ou bien « Je n’ai pas envi de te voir mourir » le Je reviens, il s’agit de vous, vous ne voulez pas voir les autres partir. Si personne ne partait, la vie serait un éternel voyage sans destination et un voyage sans posséder de destination perd tout son sens. Les gens craignent la mort, car ils ne savent pas ce qu’est réellement la vie. Dr Death s’efforce de ne pas juger les gens, il souhaite tout simplement qu’ils puissent comprendre tout ça.

Très peu de chose en ce monde est capable d’irriter véritablement Dr Death, sauf peut-être les Lamia, ces êtres devenus immortels. Quel est aujourd’hui le sens de l’existence si jamais ils ne connaîtront ce que c’est de véritablement vivre. À vrai dire, il est quasi triste pour eux, mais avec son visage si inexpressif, qui sait véritablement ce que pense ce dernier. Chose certaine, il ne les envies points, car il attend que la mort vienne le chercher lui aussi. Éventuellement il sera l’heureux chanceux, le gagnant du dernier baiser, du touché ultime de l’être de mythe, la grande faucheuse. Il a envie de la rencontrer cette fameuse grande faucheuse, la remercier pour avoir donné un sens à la vie ainsi qu’à la naissance. Si ce n’est que pour venir au monde et ne jamais trépasser, aussi bien n'être rien de plus qu’une pierre.

Cependant, bien il embrasse l’idée qu’un jour la mort viendra le cueillir tel une fleur, il ne souhaite trépasser avec d’avoir connu l’amour. Il s’agit là d’un inexplicable sensation dont même la science, aussi avancée qu’elle soit aujourd’hui, a toujours de la difficulté à comprendre. Qu’est-ce qui unis deux êtres? Qu’est-ce que le véritable amour, cette joie d’avoir quelqu’un avec qui l’âme pourra vivre même une fois que le corps sera inanimé? Certes, à première vue Dr Death n’est pas exactement du genre très romantique, mais pourtant il l’est. Il cherche l’amour qu’il emportera avec lui-même dans la tombe. Cette quête vers la douce moitié, cette âme parfaite qui le comprendra et l’acceptera pour qui il est, qui ne le verra pas comme un fou mais comme un homme génial... Qui ne craindra point la mort et les ténèbres, qui l’acceptera et l’embrassera comme lui le fait. Il s’agit là sans doute d’une vision idéaliste de l’amour, mais c’est ainsi qu’il la perçoit, c’est ce qu’il désire.

Nous savons à quel point le désir est puissant, c’est le désir de dominer qui a poussé les hommes à créer et à détruire. Le désir du pouvoir, mais qu’est-ce que le véritable pouvoir? Pourquoi tant de violence, tant de haine? Et lui, Dr Death, alors qu’il découvre ce que les dépouilles mortelles cachent à l’intérieur, c’est lui que l’on décrit comme étant un être insensible? N’est-ce donc pas vous qui détruisez la vie de façon si peu naturelle ? N’est-ce donc pas vous qui avez réduit à néant la majeur partie du monde? Maintenant vous craignez la mort et certains souhaitent vivre pour toujours. Qu’allez vous faire de tout ce beau monde avec un si petit espace pour habiter? Vous allez vous taper sur la gueule jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. Oh certes Dr Death n’a rien contre l’idée de la fin, car il sait qu’il va éventuellement mourir et attend son heure. Vous savez, les seuls êtres véritablement rationnels sont sans doute les morts. C’est sans doute pour ça que notre spécialiste aime bien discuter avec eux alors qu’il leur passe leur dernier examen médical. Selon lui, ce qui est véritablement bien avec eux, c’est que vous pouvez leur dire tout ce que vous voulez, ils ne jugeront pas, ils ne vous trahiront pas, ils sont les amis parfaits.

Oh c’est certes un peu embêtant lorsque vous planifiez une balade dans le parc et qu'après un certain moment ils commencent à décomposer... l’odeur peut être déplaisante quand vous n’êtes pas habitué, mais ils sont des pros à garder des secrets. Demandez à Dr Death, il vous le dira sûrement.

Signes particuliers : Enfin, puisque nous avons déjà abordé une partie un peu plus superficielle de son apparence générale, aussi bien parler du collier tatouage qu’il possède autour du cou. Il s’agit là autant d’un symbole que d’un plaisir qu’il a eu la chance de ressentir. La sensation des aiguilles lui ayant percé la peau fut pour lui quasi orgasmique, mais ce tatouage n’est pas sans signification particulière. Il s’agit plus ou moins d’un cercle de vie, plutôt étrange, les espaces vides, non continues sont représentatifs de la mort, ce qui rend à ses yeux la vie si magnifique c’est qu’elle se termine éventuellement.

Histoire :




Il y existe en ce monde des hommes et des femmes dotés d’un certain amour pour la science. Des hommes et des femmes dit comme étant des êtres brillants, des sages personnes possédants de multiples connaissances dans des domaines diverses. Il s’agit là de grands génies, des scientifiques. Toute fois, afin d’être considéré comme étant l’un des leurs, il faut ce plier à certaines normes. Une charte fut écrite par la main d’un homme qui ce dit comme étant sage, cette charte fut discuté entre d’autres gens tout aussi sages et quiconque s’éloigne de cette fine ligne droite deviendra un être indigne de porter l’un des multiples titres existant affichant la supériorité intellectuelle de l’être en question. Les gens qui ne font pas parti de cette lignée de gens possèdes eux aussi divers titres qui leur sont attribués. Certains possèdent la simple qualification d’être dans la norme, soit peut-être pas un sage personnage, mais rien de trop bas. Il y existe aussi les fous, aliénés, les psychopathes, la liste est bien longue alors nul besoin de tout énumérer. Qu’est-ce que la démence? Si on ce fit à nos sages protagonistes, il s’agit là d’être complètement hors normes. Il s’agit de gens qui n’entre pas tout à fait dans les critères pour faire parti des sages gens de ce monde et qui ne peuvent non plus être considéré comme étant éligible à être considéré comme la norme de base.

La société à donc créer des normes avec la création de la science. Sociologie, elle étudie la société, psychologie, elle étudie les faits psychiques. Certaines personnes ont étudié la psychologie de leur semblable. Notre protagoniste, anciennement connu sous le nom de Jukka Karppinen fut victime de ce jugement. Il est un étrange protagoniste, du moins pour eux. Notre sujet possédait déjà, depuis bien longtemps, une certaine fascination pour la vie et la mort. À ses yeux, la vie possède un sens que si elle doit éventuellement ce terminer. De plus, une vie passée dans la douceur n’est pas une vie entièrement exploitée. Selon ce dernier l’être humain possède la capacité de vivre un tas d’expérience. La souffrance physique et émotionnelle est pour ce dernier des étapes naturelles de la vie. Puisqu’il est généralement un peu plus difficile d’expérimenter sur tout ce qui ce passe au niveau psychologique, Karppinen opta pour les expériences physiques. Sont principal sujet fut lui-même.

Alors qu’il étudiait à l’école de médecine le magnifique travail de dame nature, soit le corps de créature vivantes ayant trépassées et principalement celui de ses semblables humains, ce dernier débuta ses propres petites recherches sur le sens de la vie. Certes, comme vous l’avez sans doute pu deviner, sur lui-même il ne faisait que des études à propos de la vie, car bien qu’il attendait déjà avec une certaine impatience que la mort l’emporte vers outre monde, ce dernier a d’abord quelques projets à terminer de son vivant. Alors c’est pour cela qu’à l’école de médecine, ce dernier fit des études en tant que Thanatopracteur afin d’étudier la beauté des cadavres. Un corps devenu froid, une merveille post mortem. Certes, ce lugubre protagoniste fut immédiatement le sujet de nombreuse discutions au sein de sa classe, ses professeurs eurent rapidement remarqués sa fascination pour la mort et non seulement dû à son apparence global. Néanmoins qui aurait pu croire à quel point il appréciait celle-ci.

L’un de ses partenaires de classe fut le premier à remarquer à quel point ce dernier est différent. Ce fut lors d’un exercice pratique, l’étudiant remarqua une tache de sang sur le saros blanc de notre protagoniste. À première vue pour lui en tant qu’apprenti Thanatopracteur c’est normal que le saros blanc a quelques taches de sangs. Toutefois c’est un peu plus louche lorsque que cette tache semble grandir et que le corps n’a pas encore eu la première incision. Alors d’où provient le sang? Mais de lui-même évidemment! Vous n’avez pas oublié ce que vous avez lu plus haut? Il est son principal sujet en ce qui concerne son étrange étude de la vie, donc vous avez sans doute déjà devinez ce qui ce cache sous son saros. Les points de sutures ce sont ouverts, le précieux liquide de vie coule tranquillement le long de son abdomen.

Ce qui est amusant chez les Hommes, c’est que la plupart paniquent en voyant un tel spectacle. Ils y vont souvent par étapes, d’abord les yeux qui s’ouvrent un peu plus grands, le rythme cardiaque s’accélère. Dans certains cas des cris et dans d’autres la parole semble s’être envolée. Pourtant, il n’y a rien de plus naturel que du sang. Oh certes normalement le corps humain n’est pas recousu avec précision après que la personne même ait fait une petite dissection. Pourtant le corps humain est si intéressant.

Certes après ce léger incident, notre très macabre protagoniste fut sous observation et reçu une suspension temporaire de l’école de médecine le temps qu’une enquête soit ouvert à sont sujet. Naturellement, en foulant un peu, la direction de l’école et les enquêteurs a craint le pire. Suite à plusieurs tests psychologiques, en plus d’une certaine insomnie chez notre protagoniste, les fameux sages personnes connus sous le titre de psychologues ont jugés que notre très cher monsieur souffrait sans doute de divers troubles pathologiques liés avec sa charmante obsession pour la compréhension du sens de la vie et la mort. Naturellement, il n’eut plus droit de remettre les pieds à l’école de médecine et fut interné quelques temps.



Lorsqu’un homme est jugé par ses semblables pour sa folie, soit il va au trou, soit il va chez les fous. Le jugement suis les critères des gens plus sages, des gens qui ce disent comme étant des êtres supérieurs au reste de la populace. Alors pourquoi lui? Pourquoi l’ont-il jugé? Certes il n’a commis aucun crime, donc ils ne peuvent nullement l’envoyer derrière les barreaux, cependant il est à leur yeux un être dangereux ce très cher monsieur au look cadavérique. En quoi est-il si fou? En quoi aimer la vie et désirer la vivre et la comprendre est-il un signe de folie? Les aliénés ne sont-ils pas les gens qui n’osent point vivre la vie? En quoi l’idée de la douleur et de la mort est-il si mauvais pour qu’on enferme un homme avec d’autres gens ayant eux aussi été jugés comme étant fou. Troubles pathologiques liés à l’obsession de comprendre le sens de la vie et de la mort, comprendre la vie et la mort n’est-ce pas là le désir de tout hommes en ce monde? Est-il donc damné à moisir restreint de toute liberté? Les bras enlacer autour de lui-même, dans sa propre étreinte forcé par l’uniforme blanc qui lui fut imposer, un uniforme qui est connu comme étant celui réservé aux aliénés.

Après la vie, il y a la mort et comme le mythe le raconte si souvent, à la mort il y a la lumière au bout du tunnel. Cette lumière porte un nom très commun, un nom très connu même. Cette lumière fut le symbole d’espoir de bien des gens est aujourd’hui autant le symbole d’une mort et d’une renaissance. Le gouvernement est aujourd’hui cette ténébreuse lumière, elle est la vie après la mort social de Karppinen. Cependant, la rencontre entre les autorités et notre sinistre protagoniste ce fit dans le secret le plus absolu. Aux yeux de la société, Jukka Karppinen ancien étudiant à l’école de médecine est soit qu’un fou parmi tant d’autre, soit mort ou il n’a jamais existé. Cela vrai selon deux facteurs, d’abord c’est principalement lié à la relation qu’un être aurait pu entretenir avec ce dernier, puis ensuite le second facteur est si vous êtes suffisamment sots afin d’écouter et croire aux rumeurs qui circulent. Certes, chaque mythe ou rumeur possède généralement une part de vérité. Karppinen est bel et bien mort, d’un point de vu social uniquement.




Dr Death, quel charmant nom pour un être dont l’existence n’est plus rien, du moins d’un point vu social. D ou le Dr Death, qui est-il? Il n’est rien de plus que l’ombre blanche derrière le plus sombre rideau. Un vivant qui ne vie plus, un mort qui finira par trépasser. Il est le secret détenteur de plusieurs autres mystères. Il est un homme derrière l’un des plus grands hommes du monde, ou plutôt de ce qu’il en reste. Que dire du Dr Death si ce n’est qu’il est un fou devenu génie. Savoir qui il est serait dangereux tout comme dévoiler qui il est. Il serait source de scandale médiatique, pointé du doigt comme une bête dans un zoo, les gens qui le couvrent serait eux aussi les victimes du sinistre jugement ridicule des hommes dit sages. Ils ne sont nullement sagesses, mais plutôt égo et orgueil. Ils sont prêt à écraser et à juger comme étant fou tout ceux qui ne suivent pas leurs traces. Alors, ne vous inquiétez pas si vous connaissez que très peu de chose à propos de D, car il est fort probable que votre rencontre avec ce dernier sera des plus mortelles.

Fiche validée, cher "docteur".